Nom vulgaire: Grand sphinx des clôtures
Règne: Animalia
Embranchement: Arthropoda
Classe: Insecta
Ordre: Lepidoptera
Famille: Sphingidae
Sous famille: Sphinginae
Genre: Acherontia
C’est le lépidoptère le plus grand (2 mètres d’envergure pour cet exemplaire) et le plus lourd (3 à 4 kilos pour un mâle qui revient du Super Delhaize) que l’on peut observer sous nos latitudes.
Relativement fréquent et très spectaculaire – bien que très peu remarqué à cause de ses ailes translucides et du peu d’intérêt de la majorité pour la nature qui les entoure – le grand sphinx des clôtures est une espèce d’apparition récente. Elle pourrait d’ailleurs être le résultat de manipulations génétiques.
Le grand sphinx des clôtures s’observe de préférence après que le naturaliste ait consommé sur un rythme soutenu trois triple Westmaele ou deux Rochefort 10. D’autres boissons alcoolisées pourraient avoir le même résultat.
Le sphinx des clôtures vole exclusivement entre deux heures et six heures du matin, au mépris total des règles concernant les vols de nuit. Les pales des éoliennes font des ravages chez les jeunes males de cette espèce, ce qui suffit largement à cautionner – s’il le fallait encore - la juste décision de certaines communes de protéger leur biodiversité en rejetant l’implantation de ces sanglants moulins.
Relativement fréquent et très spectaculaire – bien que très peu remarqué à cause de ses ailes translucides et du peu d’intérêt de la majorité pour la nature qui les entoure – le grand sphinx des clôtures est une espèce d’apparition récente. Elle pourrait d’ailleurs être le résultat de manipulations génétiques.
Le grand sphinx des clôtures s’observe de préférence après que le naturaliste ait consommé sur un rythme soutenu trois triple Westmaele ou deux Rochefort 10. D’autres boissons alcoolisées pourraient avoir le même résultat.
Le sphinx des clôtures vole exclusivement entre deux heures et six heures du matin, au mépris total des règles concernant les vols de nuit. Les pales des éoliennes font des ravages chez les jeunes males de cette espèce, ce qui suffit largement à cautionner – s’il le fallait encore - la juste décision de certaines communes de protéger leur biodiversité en rejetant l’implantation de ces sanglants moulins.
Aire de répartition: Cette espèce vit et hiverne dans les jardins des zones en voie d’urbanisation d’Europe tempérée, en particulier en Belgique, Nord de la France, Luxembourg et aux Pays Bas.
Trop grand pour survivre dans les villes, ce papillon est totalement absent des zones d’agriculture traditionnelle ou des localités dont l’urbanisation est gérée et contrôlée.
Seul exemple dans le règne animal, il est par ailleurs totalement absent de toutes les communes où le parti ECOLO participe à la majorité.
Reproduction: En période de reproduction, le grand sphinx des clôtures, femelle, comme nombre de papillons, émet à la fois des phéromones (n°5 de Chanel) et des ondes sur la fréquence 99.1 de la RTBf Première.
L’accouplement a lieu de préférence sur une ligne à haute tension ou à proximité d’une conduite de gaz à haute pression. Les œufs sont pondus sur ou derrière les boîtiers de systèmes d’alarmes. Cet aspect particulier est encore déterminant pour l’aire de répartition de l’espèce.
Les chenilles mâle, tout au cours de leur existence, se nourrissent exclusivement dans les nasses à canettes – dont l’intérêt pour la biodiversité est ainsi démontré – alors que les femelles préfèrent profiter des coulées de boue, fréquentes lors de fortes pluies, pour trouver leur alimentation.
Comportement: A l’age adulte, ce papillon a une alimentation très particulière qui explique son aire de répartition. Ses préférences vont – en période de reproduction - au plastique recouvrant les clôtures métalliques (d’où ses noms français et latin), ainsi que à toute époque – au feuillage des thuyas, ifs et lauriers cerise.
En l’absence de ces aliments – par exemple dans les zones herbagères des pays de Herve ou de la botte de Chimay – il a été démontré par l’Université de Villeroux et Blanmont que le Sphinx des clôtures meurt après moins d’une demi journée. La faculté n’a pas encore déterminé si un la privation d’un composant de son alimentation cause cette mort subite ou si un excès d’oxygène et de biodiversité en était la cause.
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